Du tohu-bohu des badauds, en passant par les travailleurs et travailleuses qui se massent dans les rames aux heures de pointe jusqu'aux terrasses de cafés et autres magasins bondés, les grandes villes ont vécu jusqu'ici dans un monde dans lequel la "foule" était une réalité quotidienne.
Dans les jours, semaines et mois à venir, nous allons être amenés à vivre dans un monde où chaque contact peut-être une source d'infection potentielle et donc un risque. La crise du coronavirus fait vaciller nos modes de vie, nos habitudes et nos plaisirs avec. Espérons que les vitres, les parois, les masques ne deviennent pas la nouvelle norme et ces images notre quotidien.
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